Pierre me raconte qu'il est arrivé à quatre heures. Son père [der Zeichner und Graphiker Paul Gavarni, einer der besten Freunde der Gebrüder Goncourt], à son arrivée, resta d'abord immobile. Puis, sous la pression de sa main, il lui dit d'une voix rude:
»Ah! c'est toi, mon garçon.«
Et comme s'il faisait sa dernière et suprême légende:
»Eh bien! voilà mon caractère!«
Pierre lui parla alors de changer de vie, quand il serait sur ses pattes et qu'il faudrait aller à ces pays de soleil dont il revenait:
»Nous parlerons de cela, je ne te dis pas le contraire.«
Ce fut son dernier mot.
(Aus dem Journal der Gebrüder de Goncourt, Eintrag vom 6. Dezember 1866).
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